Au nom des pères

Fin de semaine automnale et triste.
Alors que Paul Niemann regarde la télévision dans son salon, l’homme lui
murmure un étrange ultimatum : « Cette ­maison sera à moi dans sept jours. »
Puis il ­disparaît aussi mystérieusement qu’il est ­apparu. De fait, au
septième jour, la maison brûle… Qui est cet homme ? Pourquoi s’en prendre à
cette famille, d’apparence tranquille ? Il faudra toute la perspicacité de
Louise Bonì, son infaillible instinct et son manque total de ­respect envers
la hiérarchie et les procédures, pour trouver le début de l’écheveau – qui la
conduira jusqu’en ­Croatie pour un face-à-face tenant du suicide.

« Seulement le troisième Bottini, mais un nouveau Bottini est déjà un petit
événement dans le monde des policiers germanophones. L’auteur crée des
atmosphères haletantes et ne perd pas pour autant le courage de la complexité.
» Frankfurter Rundschau
« Il y a longtemps que personne n’avait écrit ainsi. » Die Zeit

Oliver Bottini, né en 1965, vit à Berlin où il se consacre à l’écriture. Ses
livres rencontrent un grand succès en Allemagne et sont traduits dans une
dizaine de pays. Il a déjà publié, chez le même éditeur, Meurtre sous le signe
du zen et L’Été des meurtriers.